jeudi 12 février 2009

mes mémoires

Je me rappel d'un souvenir pas forcement agréable j'étais pas très grande je devais avoir 7ou8ans.
Je revenais d'un dimanche soir de chez mes grand parents en voiture avec mes parents et pendant tout le trajet je n'arrêtais pas de les embêter et" quand est ce qu'on arrive," "dans combien de temps "et de dire "moi je suis une grande je peux rentrée toute seule " .
Mon père bien énervé ma dis "tu veux rentrée toute seule bas vas y " il arrêtais la voiture et repris son chemin sans moi.
J'étais toute seule en plus il faisait noire mais il me repris un mettre plus loin. C'est sur je me souviens que dans la voiture je me faisait disputer, je disait plus un mot et j'arrêtais pas de pleurer

jeudi 5 février 2009

extrait du journal intime d'Anne Franck

VENDREDI 9 OCTOBRE 1942

Chère Kitty,

Aujourd’hui, je n’ai que des nouvelles sinistres et déprimantes à te donner. Nos nombreux amis juifs sont emmenés par groupes entiers. La Gestapo ne prend vraiment pas de gants avec ces gens, on les transporte à Westerbork, le grand camp pour juifs en Drenthe, dans des wagons à bestiaux.
Miep nous a parlé de quelqu’un qui s’est échappé de Westerbork. Westerbork doit être épouvantable. On ne donne presque rien à manger aux gens, et encore moins à boire, car ils n’ont de l’eau qu’une heure par jour et un W.C. et un lavabo pour plusieurs milliers de personnes. Ils dorment tous ensemble, hommes, femmes et enfants ; les femmes et les enfants ont souvent la tête rasée. Il est presque impossible de fuir, les gens du camp sont tous marqués par leurs têtes rasées et pour beaucoup aussi par leur physique juif.
S’il se passe déjà des choses aussi affreuses en Hollande, qu’est-ce qui les attend dans les régions lointaines et barbares où on les envoie ? Nous supposons que la plupart se font massacrer. La radio anglaise parle d’asphyxie par les gaz ; c’est peut-être la méthode d’élimination la plus rapide.
Je suis complètement bouleversée. Miep raconte toutes ces horreurs de façon si poignante, elle est elle-même très agitée. L’autre jour, par exemple, une vieille femme juive paralysée était assise devant sa porte, elle attendait la Gestapo qui était allée chercher une voiture pour la transporter. La pauvre vieille était terrifiée par le bruit des tirs qui visaient les avions anglais et les éclairs aveuglants des projecteurs. Pourtant Miep n’a pas osé la faire entrer, personne ne l’aurait fait. Ces messieurs les Allemands ne sont pas avares de punitions.
Bep n’est pas très gaie non plus, son fiancé doit partir en Allemagne. Chaque fois que des avions survolent nos maisons, elle tremble que leur cargaison de bombes, qui va souvent jusqu’à un million de kilos, ne tombe sur la tête de Bertus. Des plaisanteries du genre : il n’en recevra sans doute pas un million et une bombe suffit, me paraissent un peu déplacées. Bertus est loin d’être le seul à partir, tous les jours des trains s’en vont, bondés de jeunes gens. Lorsqu’ils s’arrêtent à une gare en trajet, ils essaient parfois de se glisser hors du train et de se cacher ; un petit nombre d’entre eux y réussit peut-être. Je n’ai pas fini ma complainte. As-tu déjà entendu parler d’otages ? C’est leur dernière trouvaille en fait de punition pour les saboteurs. C’est la chose la plus atroce qu’on puisse imaginer ? Des citoyens innocents et haut placés sont emprisonnés en attendant leur exécution. Si quelqu’un commet un acte de sabotage et que le coupable n’est pas retrouvé, la Gestapo aligne tout bonnement quatre ou cinq de ces otages contre un mur. Souvent, on annonce la mort de ces gens dans le journal. À la suite d’un « accident fatal », c’est ainsi qu’ils qualifient ce crime. Un peuple reluisant, ces Allemands, et dire que j’en fais partie ! Et puis non, il y a longtemps que Hitler a fait de nous des apatrides, et d’ailleurs il n’y a pas de plus grande hostilité au monde qu’entre Allemands et juifs.

Bien à toi,

Anne

Mon journal intime

Cher journal,
je commence aujourd ' hui ma première page nous sommes le mercredi 4 février je sais pas si c'est une bonne date pour commencer parce que ma journée justement n'a pas très bien commencer.
J'ai mon collègue de boulot qui est lunatique et la c'était pas le moment de lui parler en guise de bonjour j'ai eu le droit a des réflexions du au service de la veille, j'avais beau lui expliquez qu'hier je ne travaillais pas il n'a rien voulu entendre c'était ma faute. Ensuite pendant la mise en place juste avant le début de service je suis tombée dans les escaliers (entorse) mais sachant qu'il nous manquais déjà 4 personnes mais patrons ne voulaient pas appeler les pompiers.
j'avais trop mal mon pied n'arrêtais pas de gonfler mais j'avais pas le chois de rester pour le service
j'espérais qu'on ne serais pas complet pas de bol on étais complet 170cvts
je boitais c'était super pratique, j'ai fini le service à 16h30 mais je reprend le boulot a 17h et oui c'est les folles journée. J'ai pris 5 minutes pour écrire le début de la journée j'espère que la fin de journée sera meilleure en tout cas j'ai du mal a poser le pied par terre...